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            ð  Lundi 20 Juin 2005. Prague (point N° 23 carte itinéraire)

 

          Du camping situé sur l’îlot Cisarska Louka au bord de la Vltva, quelques kilomètres au sud de la ville, nous utiliserons le tram N° 14 qui devrait nous amener à quelques centaines de mètres du quartier juif.


 

          Première étape de ce périple à travers la vieille ville de Prague : le quartier Juif (Josefov) il est 9h30 et déjà ! ...... énormément de touristes à attendre leur tour devant les six synagogues que compte ce quartier. (point A)



 

Le quartier juif        è L’histoire du quartier juif en quelques lignes. Au Moyen-äge, existaient deux communautés distinctes, ceux d’Occident et ceux de l’Empire byzantin, les deux colonies fondirent peu à peu puis furent encloses dans un ghetto. Pendant des siècles, les juifs de Prague subirent des lois oppressives, avec port d’une marque jaune en signe d’infamie, et ceci jusqu’en 1784, lorsque Joseph II leur accorda l’égalité des droits sociaux et politiques.

       En 1895, les autorités municipales décidèrent d’assainir le ghetto et rasèrent les maisons insalubres, mais épargnèrent l’hôtel de ville, six synagogues et le vieux cimetière.

       Depuis 1995, cet ensemble fait partie de la liste du Patrimoine Culturel National.

 

       Il existe deux tickets distincts : l’un comprenant : le vieux cimetière, la salle des Cérémonies et les synagogues Maïsel, Espagnole, Pinkas et Klaus, au tarif de 300 Kc. (9 €) ce ticket groupé indiquerait l’ordre de la visite et le temps à y consacrer  (20 mns maximum) La visite de la synagogue Vieille-Nouvelle nécessite un ticket séparé, qui est  presque aussi onéreux que l’ensemble des autres (200 Kc) l’explication en serait que cette synagogue serait gérée aujourd’hui par la Communauté juive de Prague et non pas par le musée juif de Prague, ceci explique peut-être cela !  Tous les sites se trouvent à quelques minutes les uns des La synagogue Vieille Nouvelleautres et possèdent chacun une caisse où l’on peut acheter un ticket général d’entrée.

 

     Notre intention était de visiter le cimetière et trois ou quatre synagogues, mais quelque peu découragés par cette foule présente à l’entrée de chaqu’une d’elles, sans oublier  le sens obligatoire et le temps chronométré pour chaque visite, nous décidons de faire l’impasse sur le billet groupé et  de ne visiter que « la Vieille-Nouvelle » visite hautement recommandée par les « Guides voir » celle qui requiert un ticket séparé et qui pour l’instant n’a pas beaucoup de visiteurs.

     Conseil : être sur place avant... l’ouverture des portes et des autobus remplis de japonais et de chinois.

 

     Lien en français donnant quelques explications sympas sur le cimetière et les synagogues. 

 

       ð La synagogue Vieille-Nouvelle, entrée 200 Kc. (environ 8 €)  Pour entrer, messieurs, on vous remet une kippa en papier. Photos interdites...

Le fauteuil de Rabbi Low

        Cette synagogue, la plus ancienne d’Europe, date de 1270. Elle s’appela longtemps la synagogue Nouvelle jusqu’à la construction d’une autre à proximité mais qui ne résista pas aux assauts du temps. Elle fut épargnée lors du programme d’assainissement mené en 1895 contre tout le guetto. Extérieur d’une grande simplicité, elle reste le seul témoignage de synagogue médiévale. S’y tient encore aujourd’hui les offices religieux.

 

      A noter : le haut toit de deux frontons de brique, crénelé, typique du gothique flamboyant. La salle du culte se compose d’une double nef séparée par deux gros piliers aux chapiteaux sculptés, entre ces piliers, la chaire, entourée par une élégante grille gothique flamboyante. Tout autour, les stalles de bois, très dépouillées. Encastré dans un mur, un tabernacle abritant la Torah. En son centre, le fauteuil de Rabbi Low installé sous l’étoile de David.

 

        Rabbi Low était un philosophe et astronome érudit, il créa un personnage légendaire en terre, un Golem (sorte d’automate à forme humaine que les saints rabbins avaient le pouvoir d’animer) ce golem était censé protéger le peuple juif et faire cesser sa souffrance. Ce golem devenu trop violent, Rabbi Low l’aurait anéanti et caché dans le toit de la synagogue.....

 

         Pour y entrer, nous devons descendre quelques marches, le sol de cette synagogue est au-dessous du niveau de la rue, ça serait....  (explications sous réserves !) par humilité et par tradition, une synagogue ne pouvant pas être d’un niveau plus élevé qu’une église..... d’autres, avec une pointe d’humour, diront que c’est pour ne pas se cogner la tête en entrant.... il est vrai que la porte n’est pas très haute.

 

        Bien que nous ne les ayons pas visités, seulement vus des extérieurs, ci-dessous un historique rapide des synagogues et du cimetière juif.

La synagogue Moïsel

          La synagogue Pinkas, édifice à voûte gothique (1479)  Dix ans après la dernière guerre, on décida de la transformer en mémorial juif, les murs intérieurs sont couverts des 77 297 noms des juifs tchèques emprisonnés à Terezin, avant d’être déportés dans les camps.

        La synagogue Klaus, de style haut baroque, elle abrite aujourd’hui une collection de manuscrits et d’imprimés en hébreu, ainsi qu’une exposition retraçant les traditions et la vie dans le ghetto à travers l’histoire

           La synagogue Maïsel, à l’origine c’était un  petit sanctuaire privé (fin 16ème) richement décoré construit par le primat Maisel qui avait fait fortune en prêtant de l’argent à L'ancienne salle des cérémoniesl’empereur Rodolphe. Un incendie en 1689 ravagea l’édifice. On éleva à sa place une synagogue, qui fut remaniée au début du siècle dernier en style néo-gothique. Elle renferme depuis les années 1960 une collection d’objets cultuels en or et en argent datant de la Renaissance au 20ème siècle.

           L’ancienne salle des Cérémonies, construction en néo-roman (début 20ème) servait autrefois de pompes funèbres. Aujourd’hui, espace d’exposition sur les traditions et coutumes juives.

       Le cimetière juif : le plus ancien cimetière juif d’Europe (1478) Plus de 12 000 pierres tombales jaillissant des buissons dans un désordre inouï, mais on a estimé que 100 000 personnes y sont  enterrées, le manque de plage obligeant à superposer les tombes. Nombre de personnages illustres y sont inhumés, écrivains, rabbins, primat.... le plus célèbre est sans conteste Rabbi Low, sa stèle est recouverte de petits cailloux ou de papiers portant des vœux. Sur certaines tombes apparaissent la profession du défunt, tel par exemple une paire de ciseaux pour un tailleur,  ainsi que des louanges à son sujet ou encore ses traits de caractère. La dernière personne ensevelie le fût en 1787.

 

        Nous désirions visiter le couvent d’Agnès-la-Bienheureuse situé un peu au Nord du quartier juif, mais le GDR, référence en la matière, indique fermé le lundi.... couvent de clarisses fondé en 1234, dans un beau style gothique, entièrement restauré dans les années 1960, il abrite aujourd’hui la collection d’art médiéval de la Bohême de la Galerie nationale.

 

Le quartier en prolongement du quartier juif en allant sur le sud est celui de « Stare Mesto » ou « Vieille ville » Nous arrivons  à la place « Staromestske Namesti » du 12ème siècle.

Itinéraire de la journée

 

 

           è  Staromestske Namesti : probablement une des plus belles places au monde (12ème) entièrement vouée aux piétons, (point B) bordée des cinq plus grands bâtiments historiques, de palais, de maisons à arcade romande. C’est le cœur de la cité qui vit tant d’évènements historiques, pour ne citer que le plus récent, et pas un des moindres : la proclamation en 1990 par Vaclav Havel du retour à la démocratie.

        L’été elle est cernée de terrasses et envahie d’ensembles musicaux.

 

Mémorial de Jan Hus       Je vous invite à en faire le tour, dans le sens des aiguilles d’une montre... GO !

 

          En son centre, un imposant monument, celui de Jan Hus, réformateur religieux qui combattit les pratiques corrompues de l’Eglise, héros qui symbolise toutes les révoltes tchèques, il périt sur le bûcher en 1415.

 Le mémorial fut inauguré en 1915. Alors que ses compagnons sont écrasés par la pesanteur du monde, le corps dans la boue, Jean Hus se tient debout, fier. On attribue à ce mémorial une petite ressemblance avec les « Bourgeois de Calais »

 

        Du coté Est : Le Palais Kinsky, palais rococo qui accueille aujourd’hui des expositions de la Galerie Nationale.

 

           L’église Notre-Dame de-Tyn, superbe édifice gothique, construit sur les ruines d’un petit sanctuaire roman de 1135, construction débutée en 1380 pour n’être achevée qu’au début du 16ème. Ses flèches hautes de 80 m émergent derrière les demeures de la place, elles  portent chacune à leur cime quatre petites tourelles.

Entre les tours, un imposant fronton gothique tardif sur lequel est plaçée  la statue du roi hussite Georges de Podebrady et le calice hussite.

Le portail est un précieux monument du gothique rayonnant. A l’intérieur, l’autel St Jean Baptiste, en bois, date de 1520.

 

L'église Notre-Dame-du-Tyn  Autel en bois de l'église Notre-Dame-du-Tyn

 

        Les superbes maisons d’origine romane et gothique qui bordent le coté sud, façade multicolores ornées d’enseignes, telles que « la Table de Pierre » ou «  A la licorne d’or »

 

        L’hôtel de Ville, on peut le visiter entre 9 et 18 heures, à l’intérieur se trouve l’Office de Tourisme. Ce bâtiment, une belle tour carrée avec sa chapelle à encorbellement, fut construit en 1338. Au fil des siècles il s’agrandit et forme aujourd’hui un ensemble d’édifices gothiques et Renaissance. Sa tour haute de 69,5m  L'hôtel de Villepermet une vue magnifique sur la ville, un ascenseur y mène, nous pouvons ainsi admirer de près les apôtres de l’horloge et avons une très jolie vue sur les nombreux monuments, églises et maisons, dommage que l’accès à la terrrasse soit interdit, nous devrons nous contenter d’admirer à travers les petites fenêtres étroites perçées dans les murs.

 

Il est 11h30, nous allons rejoindre les nombreux touristes qui commencent à s’agglutiner devant l’horloge astronomique, attendant que sonnent les douze coups de midi.

 

         L’horloge astronomique, accolée à un coté de la tour, c’est l’un des clous touristique de la ville. Selon une légende, le maître horloger qui la construisit en 1490 fut rendu aveugle pour l’empêcher de reproduire son chef-d’œuvre ailleurs, voyant sa mort venir, il se fit accompagner par ses fils auprès de l’horloge et en détruisit rageusement le mécanisme, cette légende pourrait expliquer pourquoi le système fut en panne pendant une longue période, avant qu’un autre savant puisse le remettre en état.

 

A chaque heure de la journée, cette étonnante œuvre d’art met en action les douze apôtres qui apparaissent les uns après les autres à deux fenêtres, ces figurines ne furent installées qu’au 17ème siècle.  

 

 L’horloge indique les années, les mois, les jours et les heures, le lever et le coucher du soleil, ceux  de la lune et les constellations. De chaque coté de l’horloge, deux personnages baroques, à gauche, une allégorie de la Vanité et de l’Avarice, a droite, la Mort, squelette qui tire la cloche de la tourelle pour indiquer que l’heure est venue, à ses cotés un Turc reconnaissable à son turban, fait « non » de la tête, il symbolise la peur, car au cours des siècles, les Turcs furent les principaux envahisseurs de l’Europe centrale et représentaient donc la crainte suprême.

Encore plus haut, un coq doré qui chante toutes les heures en agitant ses ailes.

La sphère du bas est un calendrier avec au centre le blason de la Vieille Ville de Prague, entouré des signes du zodiaque, eux-mêmes cernés par douze médaillons symbolisant les douze mois de l’année par le biais de scènes paysannes. C’est une œuvre du XIXème  du grand peintre tchèque de l’époque : Josef Manes.

 

Cette incroyable machinerie fonctionne avec le même mécanisme qu’il y a 500 ans. Elle rappelle l'horloge de la cathédrale de Strasbourg, la seule à pouvoir lui faire concurrence.

 

Les apôtres  L'horloge astronomique

 

A nos pieds, vingt-sept croix blanches sont encastrées dans la mosaïque du pavage de la place, rappellant l’exécution des 27 seigneurs tchèques, chefs de l’insurrection contre la ligue catholique.

 

Maison 'au Lion blanc' Il est l’heure du déjeuner, nous nous installons à la terrasse de l’un des nombreux restaurants et savourons notre repas tout en regardant le va et vient étourdissant des nombreux touristes. Celui-ci terminé, un peu reposés nous reprenons notre tour de la place et finissons par le coté Nord.

 

      L’église Saint-Nicolas, dominant le quartier, exemple du baroque, construite de 1704 à 1756. Les deux tours, le clocher ainsi que la coupole avec une tourelle font 79 m de haut, des statues ornent sa façade blanche.

 

      Une superbe maison « Au lion blanc » maison style Renaissance avec de riches sgraffites avec motifs mythologiques, à un des angles, une statue d’un lion tenant dans ses pattes un miroir.

 

Nous quittons maintenant cette célèbre place, prenons du coté Est la rue piétonnière Celetna, elle aussi bordée de superbe maisons et arrivons ainsi à :

 

La Tour Poudrière, grosse tour carrée et massive, l’une des treize portes des fortifications,  derniers vestiges des remparts de la Vieille Ville.


Quelques mots de son histoire : En 1475 le magistrat municipal décida d’offrir une nouvelle tour au roi Vladislav ll. Celle-ci n’avait pas de véritable fonction défensive, mais sa riche décoration sculptée devait ajouter au prestige du Palais royal adjacent.  Abondante décoration sur la façade, où apparaissent les souverains tchèques. Au-dessus de la voûte, le blason de Prague. En 1757, quand Prague fut assiégé par les troupes prusiennes, elle servit de magasin à poudre et depuis elle est appelée « poudrière » Gravement endommagée pendant cette occupation,  elle fut entièrement reconstruite en 1876.

 

Tout à coté, dans son  prolongement : la Maison Municipale, visite de 10 à 18 heures (160 Czk-6,33€)  Splendide édifice dans le style « Art Nouveau » construit entre 1905 et 1911 à l’emplacement de l’ancien Palais royal, sur la façade principale une mosaïque Hommage à Prague réalisée par Karel Spillar. L’intérieur n’est que splendeur, riches décorations, mosqaïques, luminaires, hall en marbre, escalier revêtu de faïences avec panneaux décoratifs. La maison municipale accueille les concerts et les bals les plus prestigieux, elle renferme en outre de nombreuses salles plus petites, d’exposition et de conférence, bureaux, cafés et restaurants

 

La Tour Poudrière        La Maison Municipale       

 

Les orgues de l'église Saint JacquesNous faisons maintenant demi-tour, et pénétrons de nouveau dans la « Stare Mesto » cette fois  par la rue Jabuska, au passage nous admirons cette superbe église, un peu à l’écart :

 

L’église Saint Jacques, très grande église, fondée en 1232, rebâtie dans un style baroque après un incendie en 1689. Elle est richement dotée et possède plusieurs chefs d’œuvre, vingt autels latéraux, un orgue magnifique qui lui vaut d’accueillir de nombreux concerts.  Original : suspendu au mur un bras humain momifié, « on » raconte qu’il y a 400 ans, un voleur ayant voulu dérober les bijoux de la Vierge s’est vu attrapé le bras par la statue, bras qu’il aura fallu couper pour libérer le coupable .....

 

Nous voici de retour devant l’église Notre-Dame-du-Tyn, retraversons la place Staromestske Namesti et continuons jusqu’au « Clémentinum » situé presque au bord de la Vltava. 

 

Le Clémentinum : ouvert du Lundi au Vendredi de 14 h à 18 h et de 10 h à 18 h le week-end. Ticket combinant la visite de la bibliothèque baroque et de la tour astronomique. La bibliothèque du ClementinumImmense collège fondé au 16ème. Tous les enfants de nobles s’y rendaient, on y trouvait un couvent, deux églises, des chapelles, de nombreuses salles d’étude et des bibliothèques.  Aujourd’hui, le Clementinum occupe tout un pâté de maisons, il abrite une grande bibliothèque universitaire et la bibliothèque d’état (8,6 millions d’ouvrages)  

 

La visite commence par la bibliothèque, immense salle baroque qui renferme une impressionnante collection de livres d’époque (salle sombre, un cordon nous en interdit l’approche, et les  photos y sont  interdites ! nous restera les livres et les cartes postales.  Le gardien qui, après le passage du groupe ferme les portes une à une, nous fait signe de rester en arrière et de prendre vite fait une photo, mais sans flash ! le résultat fut à la hauteur de nos espérances, nul ! merci tout de même à ce gentil gardien, avec un bon appareil on serait peut-être arrivés à un meilleur résultat)
    Impressionnants rayonnages, des colonnes torsadées conduisent le regard jusqu’aux plafonds, ceux-ci sont décorés d’une fresque qui symbolise les arts et les sciences.
    Une rangée de globes terrestres et célestes de toutes tailles, regroupés au centre de la pièce, appartient à la collection de la salle des Mathématiques.

Baromètre et thermomètre, tour astronomique

Nous quittons cette magnifique salle, traversons des couloirs remarquables pour leurs fresques illustrant la vie de saint François-Xavier,  l’ancien réfectoire d’été et  arrivons à :

 

La tour astronomique, elle fut construite par les astronomes au début du 20ème. On y voit divers instruments de mesure (baromètres, thermomètres) datant du 18ème, depuis la haut de la tour vue magnifique sur la ville.

 

Nous finissons notre visite de la vieille ville par  l’église Saint-Sauveur, à proximité du Clémentinum, près du pont Charles. Construite dans les années 1578-1601, sa façade est ornée de 15 superbes statues. Malheureusement là encore, énormément de monde, impossible de prendre une photo sans une foule de touristes devant ! 

 

 

Vue panoramique depuis les toits de l'horloge astronomique, l'église St Nicolas     Vue panoramique depuis les toits de l'horloge astronomique, l'église Notre-Dame-du-Tyn    


Voici, c’est ici que s’achève notre première journée de visite  dans Prague, nous revenons au camping par le tram N° 14 faire un brin de toilette et repartirons, mais  cette fois en taxi, En effet, nous avons réservé au restaurant U Marcanu, celui-ci se trouve excentré,  à l’Ouest du château, Veleslavinska 14,  et nous ne savons pas trop par où aller:, car ce quartier est en-dehors de notre plan, et ne savons non plus si une station de tram le dessert ! un peu angoissant pour revenir !



 

       Restaurant U Marcanu, nous y passerons un bon moment de détente après cette journée dans les rues de Prague à se faufiler parmi la foule nombreuse. 

Ce restaurant offre après le repas un petit spectacle de chants et danses typiques tchèques d'environ une heure. Repas à 19h30 / 20 heures.   

 

Lien sur ce restaurant sympa   

 

Danses au restaurant U Marcanu  Chants et danses, restaurant U Marcanu    Chants  restaurant U Marcanu

 

A peine arrivés, nous nous renseignons auprès de la réception comment retourner au camping  très aimablement le patron nous indique sur un plan où prendre le tram qui rejoint le centre, de celui-ci, on se débrouillera toujours pour récupérer le 14.. Le passage de ce tram est sur une grande artère « Evropska » 300 m au nord environ du restaurant, et là chance inouïe ! en regardant de près le tableau des lignes, nous nous apercevons que le n° 20 va directement au camping, nous mettrons environ 45 minutes à y arriver.

    Demain, visite du quartier du château « Hradcany » retour par « Mala Strana » et traversée du "Pont Charles"

 

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    En bonus !... un diaporama, plus de photos et grand format, diaporama que vous pourrez également retrouver à partir du menu de gauche.

 

      

 

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