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Page 4 : Pologne : Augustow – Czestochowa - Wieliczka
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* Dimanche 16 Juillet POLOGNE : * Canal d’AUGUSTOW – descente sur CZESTOCHOWA
Après avoir
fait le plein d’eau potable à la station ou nous avons dormi, (celle proposée
par les cimetières étant d’une couleur qui ne nous inspirait aucune confiance) nous nous sommes rendus au poste
douanier de Salaperaugis. Une simple présentation des
passeports et de la carte grise et nous voilà de retour en Pologne, nous
constaterons cependant que plusieurs véhicules sont mis à l’écart pour une
fouille….
Nous
occupons notre matinée à faire le circuit des écluses du canal d’Augustow,(24) certaines sont accessibles depuis la petite route
comme Przewiez, Plaska, Gorcyca et Swoboda, à cet effet nous avions acheté une carte du
canal au 1/80000. Pour d’autres comme Hudrynki, nous
roulons quelques centaines de mètres sur un chemin de piste, chemin qui longe
et n’est qu’à quelques centaines de mètres de la Biélorussie. D ’ailleurs nous avons été « repérés » car un
texto sur notre portable nous y a souhaité la bienvenue !!!
La plus importante : Mikaszόwka est le rendez-vous de nombreux amoureux de la nature : promeneurs, kayatistes, adeptes de la voile..... Lorsque nous quittons ce circuit en fin de matinée, la circulation en sens inverse devient importante et nous aurait valu quelques soucis de croisement. Cette promenade était très agréable, apportant avec ce canal et la multitude d’étangs une touche de fraîcheur
Petit historique :Les raisons de la construction du canal d'Augustow étaient politiques et économiques. Les droits de douane instaurés en 1821 et demandés unilatéralement par la Prusse pour le passage des marchandises polonaises et lithuaniennes sur son territoire, ont pratiquement bloqué l’accès des commerçants polonais vers la mer baltique par le fleuve de Vistula.. Ainsi une voie d'eau a été construite, déviant le territoire prussien, liant le centre du royaume de Pologne avec les ports lettons sur la mer baltique.
Le Canal d'Augustow est un monument de valeur, bâti dans les années 1824-1839. Cette voie d'eau artificielle compte 102 km et relie la Vistule au Niemen. Elle commence à l'écluse de Debowo, sur la Biebrza, et se termine par l'écluse Niemnowo en Biélorussie. La partie polonaise du canal mesure 80 km et traverse les lits de la Netta, de la Czarna Hancza et les lacs d'Augustow. Pour venir à bout d'une dénivellation de 55 m, on a construit 18 écluses dont 14 se trouvent en Pologne. La partie biélorusse a été malheureusement dévastée et attend d'être rénovée. Sur les 14 écluses polonaises, 9 sont encore dans leur état technique d'origine..Le secteur proposé pour l'inscription sur la liste d'héritage du monde de l'UNESCO couvre la longueur entière du canal historique
Un musée se trouve dans la ville d’Augustow, il retrace l’histoire de la construction du canal par Ignace Pradzynski. C’est le tsar Alexandre 1er qui fut l’initiateur du projet et c’est lui que les 7000 hommes qui le creusèrent à la pelle sur 40 Kms doivent remercier. (Source GDR)
Une société propose des promenades en bateau à partir d’Augustow :
Aujourd’hui dimanche est une journée sans poids lourds, on a pu le constater sur la route, n’en trouvant que quelques uns au compte goutte, par contre ils sont tous alignés dans les stations services TIR, une aubaine...
Nous descendons la Pologne espérant atteindre Czestochowa demain en début d’après-midi, la route est pour une bonne partie creusée de sillons assez importants. Notre halte nuit sera devant l’église de la petite ville de Mszczonow quelques kms au Sud de Varsovie.
* Lundi 18 Juillet * CZESTOCHOWA - WIELICKZA
Sur la route de Mszczonow à Czestochowa beaucoup de gens vendent leurs récoltes, en l’occurrence : des cerises, des framboises, des myrtilles.
Comme
souhaité nous arrivons à la ville Sainte (25) pour y déjeuner, le monastère « Josna Gora » est bien
indiqué, mais par contre rien pour les parkings, nous nous fions au clocher
visible de loin et nous installons sur un qui semble être assez près. De plus
celui-ci a quelques arbres, ce qui nous donnera de l’ombre, car il fait
toujours très chaud, je l’ai souvent dit, mais on en a réellement souffert,
pénible de voyager et visiter avec une moyenne de 34° dès les 11 heures du
matin !!
Le gardien
nous demande combien de temps nous désirons rester, nous évaluons jusqu’à 17
heures, le prix sera de 13 zlotys. (environ 3,40€)
Plus tard du haut du clocher du monastère,nous verrons l’immense parking 24
heures situé juste en face de l’entrée, par contre est-il gratuit, est-il
payant ? probablement payant, mais aussi
certainement accueillant pour y passer la nuit Histoire
du monastère :Le nom de Jasna Gora signifie « Claire Montagne » et fut le nom
donné à la colline où fut érigée d’abord une petite église.
* L’icône miraculeuse de la Vierge
Marie : d’après les traditions, elle aurait été peinte par Luc
l’évangéliste. Grâce à la croissante popularité de celle ci, le monastère
devint rapidement sanctuaire lieu de nombreux pèlerinages Vers 146O on
a commencé la construction d’une église gothique à trois larges nefs, à coté de
la chapelle de la Vierge. Au début de 1621, des remparts de fortification
furent construits pour protéger le monastère des pillards et invasions .Le 18
Novembre 1655 l’armée suédoise attaqua le monastère, le prieur tint avec
seulement 17O soldats et 2O moines, le siège pendant 4O jours, finalement
l’armée suédoise laissa tomber, et il fut dît que c’était la protection de la
Vierge qui avait permis ce miracle. Le 1er Avril 1656, le roi de
Pologne fit le vœu de de se placer lui même et tout
le pays sous la protection de la Sainte Vierge et de la choisir comme patronne
de la Pologne, c’est depuis cette époque que Jasna-Gora
est le symbole de la liberté nationale et des sentiments religieux des Polonais Visite : On entre
dans l’enceinte de murs du monastère par quatre portes installées entre le
XVI et le XIXème siècle La principale
et la plus ancienne partie comprend les édifices sacraux autour desquels petit
à petit les éléments de l’ensemble conventuel furent élevés :
* La chapelle de la Sainte Vierge * La
basilique contiguë à la chapelle * le péristyle du cénacle * le bâtiment
qui servait autrefois de logement aux rois visitant Jasna
Gora *
l’arsenal autrefois l’armurerie de la forteresse Tout cet
ensemble est entouré de murs autour desquels il y a les stations historiques du
Chemin de Croix * La
Tour : une tour élancée domine l’ensemble, elle est la plus
haute des constructions de ce genre en Pologne avec 1O6,3O m de hauteur On
installa au premier étage un carillon de 36 cloches et clochettes Dans les
angles de l’étage central on plaça quatre figures
de saints Sur la flèche
de la tour, un corbeau est assis avec du pain dans le bec La pointe de
la flèche est terminée par une croix En 1997 on a
traité les statues en cuivre pour mieux les conserver L’icône
miraculeuse : elle est peinte sur une plaque de bois aux dimensions
suivantes : 81,5 x 121,7. Il représente la Vierge Marie debout, avec
l’enfant Jésus dans un bras La robe bleu marine et
le manteau de même couleur de la Vierge sont ornés du motif de la fleur du
lys d’Anjou. Au dessus du front de la Vierge, une étoile à six branches à été peinte. L’icône est peinte sur un fond bleu vert Les pèlerins
priant dans la chapelle voient la Madone et son Enfant dans les robes et les
couronnes offertes par le pape Pie X en 191O. Du coté droit du tableau sont
déposés : une rose en or et une plaque votive en or en forme de cœur avec
l’inscription TOTUS TUUS, il s’agit de dons du Saint Père Jean Paul II transmis
en 1979 et 1982 Le
monument du saint père Jean Paul II : il fut consacré le 26
Août 1999, et a été offert par un couple polonais habitant depuis plusieurs
années au USA. Le sculpteur de Cracovie Wladyslaw Dudek est le créateur de ce monument de presque 7 m de
haut. Le Saint Père tient sa calotte dans la main gauche et sa main droite est
soulevée dans un geste bénissant les pélerins. Les pèlerinages de Jean-Paul II * du 4 au 6 Juin 1979, il a rencontré 3 5OO OOO
fidèles pendant les cinq jours de son séjour, il a aussi offert « La Rose
en Or » qui fut placée sur l’autel dans la chapelle de la Sainte-Vierge * du 18 au
21 Juin 1983 à l’occasion du jubilé du 6OOème anniversaire de Jasna Gora qui eut lieu pendant
la suspension de l’état de siège de 1981, qui vit l’arrestation de nombreux
membres de « Solidarnosc » cette visite du pape prit le symbole d’une
nation croyante, et luttant pour une Pologne libre * les 12-13
Juin 1987 accompli en l’honneur du 2ème congrès National
Eucharistique * 14 au 16
Août 1991 qui rassembla presque 1 7OO OOO jeunes pèlerins * 4 Juin 1997 * 17 Juin 1999 Ces dernières années, plus de 4 millions de
pèlerins, dont 4OO OOO venant à pied Qu’on soit
pratiquant ou non, on est toujours impressionnés par la ferveur et la croyance
des pèlerins. Des messes sont dites simultanément dans pratiquement toutes les
chapelle attenantes, les confessions se font un peu partout, au vu de tout le
monde, des jeunes entament des chants et cantiques, mais le plus émouvant c’est
la montée à genoux de ces gens, du milieu de la chapelle jusqu’à l’icône, et
retour à leur place de la même façon En sortant
de la basilique nous voyons : Tower, aussi
entreprenons nous d’y grimper : 3OO marches pour arriver à l’étage ou sont
les statues des saints, une donation à mi-chemin pour l’entretien de la tour,
puis encore 100 pour accéder à la plateforme panoramique…….nous en faisons
tranquillement le tour en photographiant et filmant, et amorçons la descente de
cet escalier quand un homme vient nous faire comprendre qu’il faut faire fiça à
descendre, et ne plus perdre de temps à faire de la photo Nous irons
ensuite voir le trésor : nombreuses pièces d’orfèvrerie dont
deux couronnes offertes par Pie X, une horloge à neuf cadrans et un calice
offert par l’épiscopat français. Il est
17h3O, 14O kms nous séparent de Wieliczka la mine de
sel, c’est faisable avant la tombée de la nuit, aussi reprenons nous la route.
Une petite halte dans un Auchan, faire un léger réapprovisionnement et nous
filons, mais c’était sans compter sur un bouchon à peine quelques kilomètres
après Czestochowa, et nous arrivons au parking de la mine il est 21 heures et
déjà brun…. * Mardi 18 Juillet *
WIELICZKA (26) Sur
Internet, j’avais pu voir qu’il y avait un tour guidé en Français à 1Oh15,
aussi nous nous sommes rendus vers 9h3O pour être surs d’avoir un billet pour
cette heure, ce qui fut fait sans problème. Par contre
la visite nous a laissé un réel sentiment d’amertume Entrée avec explication en
polonais : 43 zlotys (11,50€) Entrée avec tour en langue étrangère
65 zlotys (16,80 €) – la différence de prix aurait dû tout de même nous
donner droit à un peu plus de considération. Petit historique « La
mine de sel Wieliczka constitue le seul établissement
minier au monde qui fonctionne sans arrêt depuis le Moyen-âge jusqu’à nos
jours. Ses anciens chantiers (galeries, chambres, lacs, puits) qui comptent au
total environ 300 kms, sont situés sur 9 niveaux et
se trouvent à une profondeur de 64 à 327 m. Ils illustrent toutes les étapes du
développement de la technique minière dans les différentes époques
historiques » Cette citation provient de la justification de
l’inscription de la Mine de Sel « Wieliczka » par l’UNESCO
sur la 1ère liste du Patrimoine Mondial de la Culture et de la
Nature, le 8/09/1978, avec 11 autres sites du monde entier. Le sel constituait depuis les temps les plus
anciens la base économique du pays. En Pologne,il
était utilisé dans l’Antiquité comme un moyen de paiement, remplaçant l’argent
en métal. Au XVIème siècle la
saline de Wieliczka devient l’une des plus grandes entreprises en Europe. En
plus de l’équipe liée directement à la production et des employés
administratifs, on y embauche des charpentiers, des tonneliers, des forgerons,
des charretiers et des garçons d’écurie. Les salines ont leur propre cuisine,
un médecin ainsi qu’un système de Sécurité sociale et de retraite. Entre le XIVème siècle
et le XVème les travaux d’exploitation et le
transport souterrain se déroulaient manuellement. Le sel était hissé à la
surface par des puits au moyen de cordes enroulées sur des tambours (hasple) actionnées par la force humaine. Vers 1400 on a remplacé ces hasples
par des deptaki, sorte de roues équipées d’échelons,
montées sur un tambour à cordes. Ces roues tournaient grâce au poids des
personnes marchant sur ces échelons. L’étape suivant du développement des
engins de transport était celle du manège à cheval, introduit dans la mine au
milieu du XVème siècle. L’application du progrès
technique et la mécanisation ont entraîné l’augmentation de la production, et
par la suite la croissance des profits provenant de la mine de
Wieliczka (source site internet cité plus haut) Débuts du développement du tourisme La mine de sel Wieliczka
suscite toujours un vif intérêt. Déjà au XIVème
siècle, elle était montrée aux personnes privilégiées résidant à la cour royale
comme une entreprise productrice de sel, ensuite comme un labyrinthe étendu de
couloirs et chambre. A la fin du XVème siècle ont
commencé les excursions touristiques. En 1744 on a construit un puits Leszno, équipé d’un escalier ce qui a facilité
nettement les conditions de visite. Le trajet était bien éclairé, dans la chambre Michalowice, un immense lustre fait de cristaux de sel et
illuminé par 300 chandelles, était suspendu (5,50m de haut, 3 m de diamètre) au
plafond. Les visiteurs étaient accompagnés des mineurs
portant des flambeaux, on mettait des feux d’artifice. On peut citer comme
attractions existantes à cette époque le passage par un pont au dessus d’un
gouffre, le passage à travers le lac de saumure, la démonstration d’une
« descente diabolique » des mineurs descendant dans la mine attachée
à une corde... Dans les chambres et les galeries on trouvait des
obélisques taillés dans le sel, des monuments et des plaques
commémoratives, des portails décoratifs dédiés aux membres de la famille de
l’Empereur et aux dignitaires autrichiens. Dans une des chambres (Letόw)
transformée en salle de bal, on pouvait danser en écoutant la musique jouée par
l’orchestre salinaire. Lors de la seconde moitié du XIème siècle, une autre attraction était ajoutée, un
passage de 2,5kms de long en train tiré par des chevaux Au début du XXème siècle
une autre attraction touristique apparaît : la chapelle de la bienheureuse Kinga (Cunégonde)
les parois de cette chapelle sont décorées par des mineurs-sculpteurs,
des bas –reliefs splendides, représentant des scènes bibliques. Les lustres
faits de cristaux de sel constituent l’éclairage de la chapelle. Ses dimensions
sont aussi impressionnantes que la beauté de son intérieur. La hauteur atteint
10 m, la longueur 54 m et la largeur 15 m Les règles de visite sont alors fixées (la
mine peut être visitée en une fois par 100 personnes max) les prix de la visite
sont affichés. Le trajet souterrain et visité actuellement par
plus de 1 000 000
de touristes par an. (source site internet) Sinon,
rien à dire, c’est purement magnifique On commence à la queue leu leu par descendre 39O marches dans un petit escalier en
colimaçon, on arrive ainsi à 63 m de profondeur Température constante en toute
saison : 14 °. Nous marchons ainsi pendant 3 kms
en visitant les salles les unes après les autres au petit trot.. (détails de quelques chambres
visitées dans la rubrique illustrée, page accueil Pays Baltes) puis
redescendons encore 4OO marches, mais cette fois avec des vues panoramiques sur
les caves. Une fois terminé la visite, à 165 m de profondeur se trouve une
véritable petite ville :WC – restaurants –
boutiques de souvenirs - vous faites encore environ 1 km de marche
à pied pour arriver à un minuscule ascenseur grillagé, ne contenant pas plus de
cinq à six personnes, le même dont se servaient les mineurs, et quelques
minutes plus tard vous vous retrouvez baignés dans la chaleur du milieu de
journée. Lorsque nous
ressortons quelques trois heures plus tard, c’est une queue de plusieurs
dizaines de mètres en attente d’un billet….nous ne
regrettons pas de nous être levés de bonne heure Tarifs des
parkings de la mine : le gardien nous a compté 5 heures (8 à 13 h) = 15
Zlotys (4.00€) Sur le
parking le véhicule est en plein soleil, aussi prenons nous la route dans
l’espoir de trouver un coin ombragé, mais décidément ce coin de Pologne n’est
pas très hospitalier pour les voyageurs, pas même de parking pour se reposer,
finalement nous déjeunerons à l’ombre du mur d’une maison inhabitée. Nous
quittons la Pologne, sommes seuls à la frontière et avons l’impression
d’enquiquiner le douanier qui a dû se lever de sa chaise pour regarder
nos passeports, et entrons en Slovaquie. Première
impression : de la fraîcheur, des étendues de forêts, des vallons,
des cours d’eau .Nous voyons aussi assez souvent des femmes âgées vêtues
d’une jupe plissée noire, d’un corsage imprimé bleu pastel et d’un foulard sur
la tête. Nous
trouverons notre halte pour la nuit dans un petit village du nom de Bytca, à égale distance de la Pologne et de la République
Tchèque, au pied d’un château. Pour l’instant nous n’avons pas changé d’argent,
et n’en aurons pas besoin d’ici l’Autriche *
Mercredi 19 Juillet : Après la Slovaquie : la République
Tchèque, où nous effectuerons quelques dizaines de kms
et enfin l’Autriche. Nous longeons le Danube, et stopperons pour la nuit à Oberloiben, petit village à une trentaine de kms au Nord de Melk, connue pour sa magnifique abbaye. Ce
minuscule mais néanmoins charmant parking à voitures peut contenir une dizaine
de camping-cars, notre soirée sera agrémentée par le passage des vedettes-croisières sur le Danube. Le paysage est
joli : fleuve, verdures et gorges.
*Jeudi 20 Juillet : Traversée de l’Autriche d’Est en
Ouest en faisant attention de ne pas prendre les autoroutes qui sont sujettes à
une vignette, et ça nous l’ignorions à ce moment précis * Vendredi 21
Juillet : Traversée de la Suisse également d’Est en Ouest, là
aussi vignette obligatoire sur les autoroutes, mais un peu chère pour une
journée. Leurs routes secondaires sont calamiteuses, c’est un pays de montagne.
Nous dormirons à Yvonand, charmante localité au bord
du lac de Neuchâtel, où une amie nous avait donné rendez-vous pour y passer la
soirée. * Samedi 22
Juillet : journée de galère sous la canicule : Lausanne - Genève (où nous nous
sommes égarés) – Annecy où nous avons été coincés dans des bouchons –
Albertville et enfin La Chambre, petite commune de Savoie Nous
terminerons ce voyage comme nous l’avions débuté, à savoir une exposition
canine, Voila, le
récit de notre voyage dans les Pays Baltes est terminé, j’espère que celui-ci
vous aura plu, peut être donné quelques indications pour votre prochain séjour.
Je vous rappelle qu'à partir de la page d'accueil vous pouvez voir ce même
récit illustré ville par ville, ainsi qu'un album comprenant
beaucoup de photos. Un livre
d'or ………
Explications : il était 16 heures, heure de la fermeture de la tour, je
plains les quelques quatre à cinq personnes qui sont arrivées quelques minutes
après nous, complètement crevées en haut de la 4OOème marche et à qui on n’a
même pas laissé le temps d’approcher de la plateforme .
du vrai travail à la chaîne, à peine le temps
de prendre des photos, il vous est pourtant demandé 1O Zlotys si vous êtes
intéressé ! Notre guide ne parlait pas assez fort et n’attendait même pas
que tout son groupe soit auprès d’elle, mais le plus désagréable, c’est que
l’espace temps entre les différents groupes était quasi-inexistant, si bien
qu’on se trouvait quelquefois mélangés avec le groupe suivant, dont la guide
elle, contrairement à la nôtre, hurlait pour se faire entendre, mais en
polonais…….. je crois que pour comprendre l’histoire,
je vais devoir me référencer au bouquin acheté. ou
étudier leur site...
Alors que
nous avions l’intention de dormir à Bregenz, nous nous trouvons malgré nous
engagés dans un tunnel d’une bonne dizaine de kms
(autoroute ? tant pis, on verra bien, de toute façon on ne peut plus faire
demi-tour !..) et en sortons à la frontière suisse avec une pointe
d’appréhension, car dans nos souvenirs leurs douaniers sont plutôt fouille
tout, mais non !! ils ne nous ont même pas
regardés. Nous irons dormir à Rorschach sur le bord du lac de Constance, et
trouvons sans réelle difficulté un parking où viendront se joindre à nous des
Parisiens, ce parking est un parcmètre, et ni nos voisins ni nous n’avons
d’argent suisse, il faudra lever le camp avant 8 heures demain matin. Superbe,
mais dernier... coucher de soleil, arrivés un peu trop tard cependant.
celle-ci a lieu en Savoie.
est
également à votre disposition, vous êtes cordialement invités à y mettre vos
impressions.